LE CABINET

A deux pas du quartier historique des Batignolles, dans le 17ème arrondissement de Paris

  • Karine Fromentin

    Ostéopathe D.O

  • Le cabinet

    4 rue Gauthey, Paris 17

  • Informations pratiques

    Coordonnées

QUAND CONSULTER ?

Le champ d'action de l'ostéapthie est vaste

Maux de dos
Sciatique / cruralgie
Suites de traumatisme
Désordres digestif
Troubles O.R.L / mâchoire
Migraines / maux de tête
Suivi de grossesse
Suivi du nourrisson
Troubles du sommeil

A PROPOS DE l'OSTÉOPATHIE

"Trouver la santé devrait être l'objectif du docteur. N'importe qui peut trouver la maladie."

EN CHIFFRES

L'Ostéopathie en France

206

Os dans le corps humain

27400

Consultations par jour

3

Français sur 5 consultent

2002

Reconnaissance législative

PRÉVENIR & SOULAGER LA DOULEUR

Qu'il s'agisse de prévenir ou de soulager la douleur, c'est en privilégiant écoute et rigueur, professionnalisme et expérience, confort et satisfaction, que j'exerce mon activité..

UN PEU DE LECTURE

Sélection d'articles sur l'ostéopathie.

  • Comprendre la douleur

    Du message nociceptif aux facteurs d’influence

    A quoi sert la douleur ?

    Lorsque vous posez votre main sur une plaque brûlante, votre premier réflexe est de la retirer : c’est grâce au circuit de la douleur.
    Si la douleur est désagréable, elle a pourtant un rôle primordial pour nous.  Elle permet de préserver l’intégrité de notre corps. Elle nous informe, ou plutôt informe notre cerveau, sur les lésions, maladies ou dysfonctionnements de notre organisme. Ce signal d’alarme est nécessaire, vital pour notre protection.

    Nous comprenons l’utilité de cette douleur, mais comment fonctionne-t-elle ?

    Il ne faut pas confondre douleur et nociception. En effet la douleur est la réponse de notre cerveau à l’information qui lui arrive du corps. Cette information, appelée la nociception, sera ensuite interprétée, modulée, traitée par le cerveau pour devenir la « douleur » que nous connaissons tous.

    Comment cette information arrive-t-elle jusqu’à notre cerveau ?

    Dans un premier temps, elle est captée par des récepteurs qui sont sensibles à la pression (rupture de la peau, coup), à la température (supérieure à 45° et inférieure à 10°) et aux agents chimiques (acide, piment). Ce message nociceptif va ensuite cheminer le long des neurones et à travers la moelle épinière pour gagner le cerveau.

    Que se passe-t-il au niveau du cerveau ?

    Le traitement de ce message nociceptif venant du corps est différent pour chaque personne. Il est modulé par de nombreux facteurs. Par conséquent une même douleur peut  être ressentie différemment par deux personnes ou par la même personne à des moments distincts. Avez-vous remarqué par exemple comme les douleurs nocturnes nous paraissent plus intenses ? 

    Le contexte de survenue de la douleur est un des facteurs de modulation important. C’est ce qu’a mis en évidence en 1956 Henry Beecher, anesthésiste, en comparant les données de 150 soldats américains blessés pendant la seconde guerre mondiale et de 150 civils opérés présentant les mêmes lésions tissulaires. 32% des militaires ressentaient le besoin d’antalgique contre 83% des civils. Selon H. Beecher, cette différence significative s’expliquerait par le contexte de la blessure. La signification de la douleur est très différente pour les deux groupes. Pour les soldats, la blessure fait partie de leur métier, elle est honorable, elle signifie la fin du combat, le retour à la maison et leur rappelle qu’ils sont vivants, blessés mais vivants. Pour les civils, qui n’ont pas été préparés à cela,  la douleur n’a pas le même sens. Elle est souvent incomprise, vécue comme injuste, et signifie un changement de vie, de travail et d’habitudes.

    L’humeur va aussi moduler la sensation douloureuse, on parle alors de facteurs psychologiques. Une personne dans un état dépressif verra sa douleur majorée, alors qu’une personne optimiste et positive ressentira une douleur moindre.

    Les facteurs culturels viennent également influencer cette douleur. Avez-vous remarqué la différence de réaction des parents vis-à-vis de leur enfant,  selon qu’il s’agit d’une fille ou d’un garçon ? Par exemple, lors d’une chute : dans un cas ils s’inquiètent et viennent consoler leur enfant, alors que dans l’autre ils l’incitent à se relever et à ne pas pleurer.

    Les facteurs religieux ou spirituels peuvent influencer la perception que les personnes ont de la douleur. En effet les religions ont leur propre vision de la douleur. Elle peut être vécue comme une épreuve, une punition,  ou encore un passage obligatoire.  Que l’on soit croyant ou non, nos sociétés étant imprégnées de ces modèles religieux, ces facteurs nous concernent tous.

    Les facteurs familiaux ont également une importance fondamentale. Une douleur est de fait mieux vécue lorsque nous sommes entourés, aimés, soutenus et compris.

    De nombreux paramètres, et cette liste n’est pas exhaustive, viennent donc moduler la douleur.

    Que devons nous retenir ?

    La douleur est une expérience personnelle, physiologique et protectrice. 
    Le message nociceptif est une information que reçoit le cerveau parmi les 40 000 qui lui parviennent chaque seconde.
    S’il est difficile d’influer sur le message nociceptif reçu, il est en revanche possible de travailler sur ces différents facteurs influençant la douleur.


  • Informations pratiques


    Adresse

    Karine Fromentin
    4, rue Gauthey
    75017 Paris
    Rez-de-chaussée, porte droite (visiophone)

    Contact

    Tél. : 09 52 67 94 03

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    Transports à proximité

    Métro ligne 13, station Brochant
    RER C, station Porte de Clichy
    Lignes L et J, arrêt Pont Cardinet
    Bus 31 / 54/ 66 / 74, arrêt Brochant-Cardinet
    Vélib, station 17005 au 43 rue Brochant
    Station de taxis, Métro Brochant (borne au 32 rue Brochant)

    Tarifs

    Les consultations s’effectuent sur rendez-vous.
    70€ la séance adulte, 55€ pour les nourrissons.
  • Nourrissons et ostéopathie

    L’ostéopathie permet de soulager de nombreux maux observés chez les nouveau-nés : troubles du sommeil, troubles digestifs, torticolis, pathologies ORL… La liste est longue !
    Qu’il s’agisse des conséquences d’un accouchement difficile ou des suites d’une grossesse compliquée, il est nécessaire de soulager ces sources de souffrance chez le nourrisson. En pratiquant des mobilisations en douceur, l’ostéopathie apporte des solutions rapides et indolores.
    Reste une question majeure : quand consulter un ostéopathe? 
    Voici les éléments qui vous permettront d’identifier immédiatement les situations où un ostéopathe peut aider votre bébé.

    Comment identifier les situations à risque lors de l’accouchement ?

    La naissance peut être vécue comme un traumatisme par le nouveau-né. L’ostéopathie permet de traiter de nombreuses pathologies déclenchées par l’un des événements suivants :

    La grossesse

    - Le nourrisson est prématuré
    - Le nourrisson s’est présenté par le siège, le front ou la face

    Le travail

    - Il y a eu une péridurale
    - Il y a eu une césarienne
    - L’accouchement a duré moins de 2 heures ou plus de 8 heures
    La durée d’un accouchement peut en effet affecter le fonctionnement des structures crâniennes, et avoir un impact sur le développement du nouveau-né.

    La naissance

    - Le corps médical a utilisé des ventouses, des spatules ou des forceps
    L’utilisation de ces instruments peut avoir un impact sur la mobilité des jonctions des os du crâne, et entraîner des troubles fonctionnels visibles ou non dès la naissance. 
    - La tête a dû être tirée
    - On a fortement appuyé sur l’abdomen de la mère pour faciliter la naissance
    - Le cordon était enroulé autour du cou du nourrisson
    - Le fœtus a souffert
    - Le bébé a été réanimé, même légèrement

    Après la naissance

    - Section du frein de la langue

    Quand consulter un ostéopathe pour son nouveau-né ?

    Non traitées, les pathologies que présente un nourrisson peuvent, à court ou plus long terme, entraîner de multiples troubles fonctionnels. Vous devez être alerté si le nouveau-né présente l’un des symptômes suivants :

    Symptômes physiques

    - Son crâne est plat, en obus, ou déformé 
    - Il tourne mieux la tête d’un côté que de l’autre, ou a une diminution de mobilité cervicale
    - Ses oreilles sont asymétriques
    - L’un de ses yeux s’ouvre mal 
    - Il présente un strabisme divergent ou convergent
    - Il a du mal à tenir sa tête
    - Ses cheveux sont usés derrière la tête de façon inégale
    - Ses hanches, ses pieds ou ses jambes sont asymétriques
    - Il fait des bronchites ou des otites à répétition 
    - Il fait des conjonctivites
    - Il fait des bronchiolites

    Symptômes comportementaux

    Le sommeil

    - Il ne dort pas beaucoup
    - Il dort toujours du même côté
    - Il a un sommeil très agité

    Les repas :

    - Il tète difficilement, les repas sont très longs, il ne prend pas assez de poids
    - Il s’agite après la tétée
    - Il digère mal, il se tortille
    - Il régurgite
    - Il est constipé
    - Il a des coliques 

    Le reste du temps :

    - Il manque de tonus
    - Il pleure sans arrêt
    - Il est crispé (ses mains et ses bras sont raides)
    - Il se cambre en arrière
    - Il garde souvent la tête tournée du même côté
    - Il respire bruyamment
    - Il sursaute facilement
    - Il a fait une chute
    - Il est souvent malade
  • Femmes enceintes

    Attendre un enfant est un moment particulièrement joyeux et intense dans une vie, mais il apporte aussi son lot de soucis pour la future maman : lombalgie, sciatique, tensions musculaires et ligamentaires, problèmes digestifs (reflux gastrique, constipation…), troubles du sommeil, fatigue, migraine....

    Vous l’aurez compris, cette liste n'est pas exhaustive. Or aujourd'hui, la médecine allopathique traditionnelle ne propose que peu de solutions (paracétamol, antiacide), ne traitant que les conséquences du problème. Pourquoi ne pas en régler la cause?

    L'Ostéopathie, pour une grossesse sereine

    La grossesse entraîne une modification de l’équilibre contenant (bassin, colonne lombaire,..) / contenu (organes, viscères, fœtus,…), obligeant le corps à s’adapter à ces nouvelles contraintes mécaniques.
    L’ostéopathe rétablit les mobilités articulaires par des manipulations douces, et redonne au corps sa capacité d’adaptation.

    Quand consulter ?

    Dès que les douleurs ou l’inconfort sont là; toutefois, il n’est pas utile d’attendre l’apparition de maux pour intervenir, la prévention étant toujours la meilleure des solutions.
    Je vous conseille de faire une séance aux 1er et 2ème trimestres, puis deux séances au 3ème trimestre, dont une 2 à 4 semaines avant le terme afin de préparer et libérer le bassin pour le grand jour.
    Une autre séance vous sera utile après votre accouchement. En effet, ce dernier a les mêmes effets que la grossesse, à savoir la modification de l’équilibre du bassin. Il est donc impératif d’y remédier avant la rééducation du périnée, pour que celle soit efficace et durable.
  • Principes de l’ostéopathie

    Le corps est un tout

    Le corps humain est constitué de parties, en interaction et en continuité les unes avec les autres.
    Si une partie du corps est atteinte, c’est le corps dans son ensemble qui perd son équilibre. C’est pourquoi l’ostéopathie s’attache dans son diagnostic et son traitement à prendre en compte le corps entier, et ce quel que soit le motif de consultation. C’est en pratique l’unité corps-âme-esprit qui est considérée par l’ostéopathe.

    Le principe d’auto-guérison

    Still disait : « Trouver la santé devrait être l'objectif du docteur. N'importe qui peut trouver la maladie.»
    Le corps est capable de produire toutes les substances nécessaires à sa santé. L’ostéopathie permet de rétablir un état d’équilibre nécessaire pour que les forces d’auto-guérison et d’auto-régulation du corps puissent à nouveau s’exprimer. 

    Structure et fonction sont en relation mutuelle

    Si la structure est altérée, elle remplit moins bien sa fonction, sa physiologie. Le terme structure réunit ici les os, les muscles, les ligaments, les organes, les nerfs, les tissus… Par exemple si un nerf (structure) subit une compression, il remplira moins bien sa fonction de transmission de l’information nerveuse, et pourra entraîner une sciatique. 
    L’ostéopathie prend en considération les causes (compression du nerf) et non les effets et conséquences (sciatique).

  • La boîte à outils de l'ostéopathe

    L’ostéopathe possède de nombreuses techniques dans sa boîte à outils, qu’il fait évoluer au fur et à mesure de sa pratique, de son expérience et de ses formations.
    Nous pouvons toutefois identifier deux grands ensembles de techniques qui diffèrent par leur mode d’action : d’une part les techniques directes ou structurelles, d’autre part les techniques indirectes ou fonctionnelles.

    Les techniques ostéopathiques directes ou structurelles

    Certainement les plus connues et les plus spectaculaires, ces techniques s’accompagnent le plus souvent d’un craquement dû à un déplacement de gaz dans l’articulation.
    Les techniques directes font appel à une force extérieure, celle de l’ostéopathe, qui exerce son geste correcteur contre la restriction de mobilité, levant ainsi cette restriction. Le fameux « crac » n’est pas forcément signe de réussite ; il peut y avoir correction sans bruit, et inversement.

    Les techniques ostéopathiques indirectes ou fonctionnelles

    Ces techniques dites « douces » n’en sont pas moins efficaces. Elles font appel aux forces intérieures du corps, comme la respiration ou la contraction de certains muscles. Elles demandent souvent la coopération du patient. La correction se fait dans le sens de la restriction de mobilité, d’où l’apparente douceur de la technique.
    Les deux techniques sont aussi efficaces l’une que l’autre et parviennent aux mêmes résultats. L’ostéopathe choisira l’une ou l’autre en fonction du patient, de la dysfonction, de son expérience et de sa pratique.
  • INFORMATIONS PRATIQUES

    Vous pouvez prendre rendez-vous en ligne ou par téléphone

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    Les consultations s’effectuent sur rendez-vous.
    70€ la séance adulte, 55€ pour les nourrissons.
    Certaines mutuelles remboursent les séances d'ostéopathie, renseignez-vous.